Le champ gravitationnel d'une étoile varie en M/R^2, comme \nu _{\mathrm{max}}, dont l'expression comporte juste une dépendance supplémentaire en fonction de la température. Comme le type spectral est supposé fixé, cette dépendance est donc transparente, et \nu _{\mathrm{max}} porte la même information que le champ gravitationnel, et réciproquement. On en déduit qu'une étoile de champ gravitationnel plus intense présente un spectre avec une fréquence \nu _{\mathrm{max}} plus élevée, et réciproquement.