Intégrale de Riemann


Introduction

On trouvera dans cette partie les exercices suivants :


Longueur d'une courbe, aire d'une surface

Auteurs: Jérôme Thiébaut, Marc Fouchard, Alain Vienne

Redshift

Auteur : Jérôme Thiébaut

En coordonnées cartésiennes, un élément de longueur ds se calcule selon le théorème de Pythagore: ds^2=dx^2+dy^2+dz^2 .

Ceci donne en coordonnées sphériques: ds^2=dr^2+r^2*d*theta^2+r^2*sin(theta)^2*d*phi^2.

On voit que l'expression de ds^2 dépend de la métrique utilisée, c'est à dire de la manière de décrire l'espace. En cosmologie, dans le cadre de la relativité générale, on calcule de même les éléments de longueur en fonction de la métrique de l'espace temps soit:

ds^2=-c^2*dt^2+a(t)^2*(dr^2/(1-Kr^2)+r^2*d*theta^2+r^2*sin(theta)^2*d*phi^2),

ou a(t)est le facteur d'échelle qui décrit l'expansion de l'univers, t le temps, r , theta et phi les coordonnées comobiles (c'est à dire fixes par rapport à l'expansion de l'univers) , c la vitesse de la lumière et K la courbure de l'univers.

Pour un photon, la trajectoire est telle que ds^2=0.

On se propose dans cet exercice d'étudier la trajectoire d'un photon radial afin de relier le redshift (ou décallage spectral), z, au facteur d'échelle, a.


Ex: Redshift

Auteur: Jérôme Thiébaut

exerciceRedshift

Difficulté : ☆☆   Temps : 20mn

On considère un photon radial émis à une distance r_1 au temps t_1 par une galaxie lointaine. Ce photon nous est reçu au temps t_0 en r=0.

Sa trajectoire est décrite par la métrique: ds^2=-c^2*dt^2+a(t)^2*(dr^2/(1-Kr^2)+r^2*d*theta^2+r^2*sin(theta)^2*d*phi^2)=0.

Question 1)

Simplifier la métrique compte tenu de la nature du photon et exprimer l'égalité sous forme intégrale.

Question 2)

Un deuxième photon est émis à t_1 + delta*t_1 et est reçu en t_0 + delta*t_0. Quelle est la nouvelle égalité sous forme intégrale ?

Question 3)

Sachant que a(t) est considéré comme constant pendant un temps delta*t faible et que la distance comobile (r_1) est constante par définition, montrer que a(t_1)/a(t_0)=delta*t_1/(delta*t_°).

Question 4)

Le redshift z est défini comme suit: z=(lambda_0 -lambda_1)/lambda_1 , où lambda_0 est la longueur d'onde du photon reçu et lambda_1 celle du photon émis.

Sachant qu'à un delta*t correspond une longueur d'onde lambda, et que par convention, a(t_0)=1, relier la quantité 1+z au facteur d'échelle.


Calotte sphérique

Auteur : Marc Fouchard

Etant donné qu'un observateur sur Terre se trouve à une distance finie de la Lune, lorsqu'il regarde la Lune il ne perçoit qu'une calotte et non un hemisphère. L'objectif de cet exercice est de trouver la surface de la partie de la Lune observable depuis la Terre et de comparer cette surface à celle de l'hémisphère.

On note O l'observateur, L le centre de la Lune et \mathcal{C}_{\rm L} l'intersection de la sphère correspondant à la Lune avec un plan contenant la droite (OL). Ainsi \mathcal{C}_{\rm L} est un cercle de centre L et de rayon R, où R est le rayon de la Lune. On note d la distance OL. Les tangentes à \mathcal{C}_{\rm L} passant par O coupent \mathcal{C}_{\rm L} en Z et Z'. Soit N le point de {\mathcal{C}_{\rm L} tel que (LN) est perpendiculaire à (OL) avec N du même coté que Z de la droite (OL). On note H le projeté orthogonal de Z sur (OL), \alpha l'angle \widehat{ZOL} et r la distance HZ.

La calotte visible depuis O correspond donc à la partie de la surface de la Lune tournée vers O et de frontière le cercle de centre H et de rayon r.


Ex : Calotte sphérique

Auteur: Marc Fouchard

exerciceCalotte sphérique

Difficulté :    Temps : 30 mn

Question 1)

Faire la figure qui correspond à l'énoncé.

Question 2)

Soit \delta=\frac{R}{d}, calculer r en fonction de R et \delta.

Question 3)

Calculer la surface \mathcal{A}_{\rm C} de la calotte visible depuis O en fonction de la surface d'un hémisphère de la Lune \mathcal{A}_{\rm L} et de \delta.

Question 4)

Montrer que dans le cas d'un astronaute autour de la Terre la portion de surface \mathcal{A}_{\rm C} de la Terre visible par l'astronaute s'écrit sous la forme de la surface d'un cercle dont on déterminera le rayon en fonction du rayon de la Terre R_\oplus et de l'altitude h de l'astronaute. On supposera donc que h \ll R_\oplus.


Potentiel gravitationnel de la Terre

Auteur : Alain Vienne

Le potentiel gravitaionnel de la Terre est souvent modélisé par:

U(r,- ,\varphi ) = {\frac{KM}{r}}\,\ \left( 1 - J_2 \left({\frac{a_e}{r}}\right)^2  P_2(\sin \varphi) \right)

avec  P_2(s) = \frac{3}{2} s^2 -\frac{1}{2}

C'est le potentiel évalué en un point P de coordonnées sphériques (r,\lambda,\varphi) (dont le plan horizontal est la plan de l'équateur).

M est la masse totale de la Terre et a_e son rayon équatorial (K la constante de gravitation universelle). J_2 est un coefficient qui caractérise l'aplatissement de la Terre suivant l'axe des pôles. Sa valeur (sans unité) est de 0,00108.

Dans l'exercice qui suit, nous allons évaluer le potentiel d'un anneau massif et homogène. Nous verrons que l'expression obtenue aura exactement la même forme que celle ci-dessus.

Un exemple d'application concerne la prise en compte de la gravitation des anneaux de Saturne: il suffit de réévaluer le cooefficient d'aplatissement J_2 de Saturne.

Voici un autre exercice sur le potentiel gravitationnel terrestre.


Ex: Potentiel gravitationnel de la Terre

Auteur: Alain Vienne

exercicePotentiel gravitationnel de la Terre

Difficulté :    Temps : 1h

Question 1)

Soit un anneau de centre O et de rayon a. On repère un point P de coordonnées sphériques (r,\lambda,\varphi) (dont le plan horizontal est le plan de l'anneau).

Soit A un point de l'anneau. Il fait un angle \alpha avec le premier axe (même origine que l'angle \lambda).

Calculer la distance \Delta de A à P.

Question 2)

Calculer \frac{1}{\Delta} en se limitant aux termes de degré 2 au plus en (\frac{a}{r}).

Question 3)

Pour avoir le potentiel total de l'anneau, il faut sommer cette expression pour A variant le long de l'anneau. C'est-à-dire, il faut intégrer cette expression par rapport à \alpha qui varie de 0 à 2 \pi.

A partir de l'expression précédente, calculer U = \int_{An} \frac{K \  dm}{\Delta} .

Question 4)

En comparant cette expression avec celle utilisant le coefficient J_2, donner le rayon de l'anneau correspondant au potentiel terrestre. On donne a_e = 6400 km.


Théorèmes

Auteur: Jérôme Thiébaut, Stéphane Erard

Supernova 1A

Auteur: Jérôme Thiébaut

Les supernovae de type 1A correspondent à l'explosion d'une étoile de type naine blanche suite à l'accrétion de matière arrachée à une étoile géante proche. Ces phénomènes extrêmement lumineux sont visibles de très loin ce qui permet leurs détections. La courbe de luminosité d'une SN1A est caractéristique et permet de déterminer sa magnitude absolue. Le but de cet exercice est de montrer comment grâce à des mesures de luminosité, on peut déterminer le redshift de l'étoile, et donc de la galaxie hôte. Le redshift étant une mesure de la distance, les SN1A servent de balises pour mesurer les distances dans l'univers.

Courbe de lumière d'une supernova.
supernovacourbe.jpg
Courbe de lumière et spectre au maximum d'intensité d'une supernova.
Crédit : Supernova Cosmology Project, Berkeley University

Ex: Supernova 1A

Auteur: Jérôme Thiébaut

exerciceSupernova 1A

Difficulté :    Temps : 30 min

On observe une supernova de type 1A dans une galaxie et on mesure sa magnitude apparente m=24.75. Grâce à sa courbe de lumière, on détermine sa magnitude absolue M=-19.20.

Question 1)

On exprime la distance luminosité, D_L, comme suit: m=M+5*log(D_L)+25, où D_L est exprimée en mégaparsec (Mpc) (Le parsec étant une unité de distance correspondant à 3.10^16m).

Calculer sa valeur.

Question 2)

La distance de la galaxie est par définition: r=intégrale(frac(c;a(t));t;t_e;t_r), où c est la vitesse de la lumière, t le temps, t_e le temps d'émission de la lumière par la galaxie, t_r celui de réception par l'observateur et a(t) le facteur d'échelle décrivant l'expansion de l'univers.

Sachant que le facteur d'échelle est relié au redshift, z, par la relation suivante, a=frac(1;1+z) et que par définition la constante de Hubble vaut H=frac(dtemps(a;1);a); exprimer la distance r sous forme d'une intégrale selon z (on posera qu'à t_e, z=z_G et par définition à t_r , z=0).

Question 3)

Calculer r, puis sachant que la distance luminosité et la distance r sont reliées par la relation D_L=(1+z_G)*r (dans le modèle cosmologique standart LambdaCDM), déterminer l'équation du second degré à laquelle obéit z_G.

Question 4)

Résoudre cette équation et déterminer la valeur du redshift z_G (positive par définition). On donne c=3.10^5*km*s^(-1) et H=70 km*s^(-1)*Mpc^(-1).


Bruit de numérisation

Auteur: Stéphane Erard

Les instruments modernes utilisent des détecteurs numériques tels que des CCD, c'est-à-dire qu'ils fournissent en sortie un signal numérisé sur un nombre fini de valeurs. Cette étape produit une erreur d'arrondi appelée "bruit de quantification" ou "bruit de numérisation" qui peut dans certains cas limiter la précision de la mesure. On étudie ici la statistique de ce bruit.


Ex: bruit de numérisation

Auteur: Stéphane Erard

exerciceBruit de numérisation

Difficulté :    Temps : 30 min

L'exercice consiste à estimer l'erreur due à la numérisation (ou quantification) d'un signal continu.

Question 1)

On mesure un signal lumineux avec une caméra CCD. Tracer l'allure de la fonction de réponse du convertisseur analogique/numérique (CAN). Si le convertisseur fonctionne sur 12 bits, combien de valeurs sont disponibles en sortie ?

Le convertisseur est réglé pour couvrir la dynamique de la caméra jusqu'à un niveau analogique S_{max}. Quel est le pas de numérisation du signal ?

Question 2)

Estimer l'erreur quadratique moyenne due à la numérisation.

Question 3)

Calculer le rapport signal sur bruit correspondant. Comment peut-on améliorer celui-ci, et jusqu'à quel point ?

Question 4)

Comparer aux autres sources de bruit.


Intégrales Généralisées

Auteurs: Marc Fouchard, Stéphane Erard, S. Renner

Loi de Stefan

Auteur : Marc Fouchard

La loi de Planck montre que pour un corps noir, l'énergie émise par rayonnement suivant une longueur d'onde, ne dépend que de la température de surface du corps noir. Cette loi est donnée par la relation suivante :

E(\lambda)=\frac{2 h c^2}{\lambda ^5}\cdot \frac{1}{\exp \left( \frac{h c}{k \lambda T} \right) -1}

c correspond à la vitesse de la lumière dans le vide, hest la constante de Planck, kla constante de Boltzmann, \lambdala longueur d'onde à laquelle le rayonnement est émis et Tla température de surface du corps noir.

La figure ci dessous montre le comportement de E(\lambda) pour différente température de surface du corps noir. Sachant que l'énergie totale E_{\rm tot} émise par le corps noir par seconde et par unité de surface correspond à l'aire comprise en l'axe des abcisses et la courbe, on remarque que E_{\rm tot} augmente avec la température de surface du corps noir (il ne faut pas cocher la case "normaliser").

Le but de cet exercice est d'établir la relation exacte entre E_{\rm tot} et la température de surface T du corps noir.

Loi de Planck application.png

remarqueRemarque

On pourra aussi voir cet exercice en lien avec la loi de Planck pour les corps noirs.


Ex : loi de Stefan

Auteur: Marc Fouchard

exerciceloi de Stefan

Difficulté : ☆☆   Temps : 1h

Question 1)

Sachant que h, c et ksont des constantes strictement positives et que la température Tétant mesurée en degré Kelvin est aussi strictement positive, montrer que E est de classe {\mathcal C}^{\infty} sur ]0,+\infty[ et est toujours strictement positive sur cet intervalle.

Question 2)

L'énergie totale E_{\rm tot} est donnée par :

E_{\rm tot}=\int_0^{+\infty} \frac{2 h c^2}{\lambda ^5}\cdot \frac{1}{\exp \left( \frac{h c}{k \lambda T} \right) -1}{\rm d} \lambda.

Montrer, en effectuant un changement de variable approprié, que E_{\rm tot} peut s'écrire sous la forme:

E_{\rm tot}=A \int_0^{+ \infty} \frac{u^3}{{\rm e}^u-1}{\rm d} u \,T^4

C est une constante que l'on déterminera.

Question 3)

Montrer que l'intégrale

I=\int_0^{+\infty}\frac{u^3}{{\rm e}^u-1}{\rm d} u

est convergente.

remarqueRemarque

Cette intégrale est une fonction zeta de Reimann. On peut montrer que I=\pi^4/15.

Question 4)

En déduire la loi de Stefan:

E_{\rm tot}=\sigma \, T^4

\sigma est une constante que l'on déterminera.


Distribution des vitesses de Maxwell

Auteur: Stéphane Erard

On considère un gaz en équilibre, pour lequel on veut connaître les vitesses des molécules. La théorie cinétique des gaz ne donne qu'une valeur moyenne (la vitesse quadratique moyenne) :

v_q= \sqrt{\overline{v^2}} = \sqrt{\frac{3kT}{m}}

où m est la masse des molécules, T est la température, k la constante de Boltzman.

On cherche ici la distribution de vitesse, c'est-à-dire la probabilité d'avoir une vitessse comprise entre v et v+dv. Le calcul qui suit est classique (non quantique) et reproduit l'étude de Maxwell au XIXe siècle.


Ex: Distribution des vitesses de Maxwell

Auteur: Stéphane Erard

exerciceIntégrales gaussiennes

Difficulté : ☆☆   Temps : 60 min

Le calcul des propriétés de la loi normale suppose l'intégration de la fonction gaussienne, et des intégrales similaires apparaissent dans le calcul suivant.

Le moment d'ordre n de la loi normale réduite (de moyenne nulle) est :

M_n = C \int_{-\infty}^{\infty}x^n e^{-ax^2} dx

où a > 0 et n ≥ 0, C étant une constante de normalisation. On s'intéresse ici à :

I_n = \int_{0}^{\infty}x^n e^{-ax^2} dx

Question 1)

Trouver une relation de récurrence entre les intégrales I_n.

Question 2)

Calculer I_1. Que représente cette quantité ?

Question 3)

Calculer l'intégrale de Gauss I = 2 \times I_0 = \int_{-\infty}^{\infty}e^{-ax^2} \ dx

Question 4)

En déduire les moments de la loi normale centrée.

Auteur: Stéphane Erard

exerciceDistribution des vitesses

Difficulté : ☆☆   Temps : 60 min

La probabilité pour qu'une molécule ait une vitesse comprise entre \vec{v} et d\vec{v} est notée G(\vec{v}). Cette probabilité ne dépend pas de la position ni du temps, car le gaz est en équilibre. Si on fait l'hypothèse que la vitesse est isotrope (qui est vérifiée au sommet d'une atmosphère planétaire , ou dans un nuage de gaz interstellaire), G ne dépend que du module de la vitesse.

Question 1)

Ecrire les conditions d'indépendance entre les composantes du vecteur vitesse, et d'isotropie.

Question 2)

En déduire la forme de G.

Question 3)

Identifier deux conditions qui permettent de calculer les coefficients ci-dessus.

Question 4)

Calculer les intégrales I_2 et I_4 de l'exercice précédent.

Question 5)

En dériver l'expression de G(v^2) à l'aide des intégrales gaussiennes.

Question 6)

En dériver l'expression de F(v), densité de probabilité pour le module de la vitesse.

Question 7)

Tracer cette fonction, expliquer sa forme.

Question 8)

Comment peut-on utiliser cette fonction pour expliquer l'évolution des atmosphères planétaires ?


Temps de vie d'une étoile

Auteur : S. Renner

On estime ici la durée de vie d'une étoile de type solaire, en supposant tout d'abord que la seule source d'énergie est la gravitation, puis en considérant le cas réel des réactions de fusion thermonucléaire de l'hydrogène en hélium. La première hypothèse (dissipation de l'énergie gravitationnelle) est une idée qui apparaît avec les travaux de Kelvin au XIXe siècle.


Ex: Temps de vie d'une étoile

Auteur: S. Renner

exerciceTemps de vie d'une étoile

Difficulté :    Temps : 1h

On assimile l'étoile à une sphère homogène de masse M et de rayon R.

Question 1)

Montrer que son énergie de liaison gravitationnelle est E_G = - \frac{3}{5} \frac{GM^2}{R}.

Question 2)

En déduire le temps de vie \tau du Soleil sur ses seules ressources gravitationnelles. On rappelle que la luminosité (puissance totale rayonnée) du Soleil est L_\odot = 4 \times 10^{26} W, sa masse M_\odot = 2 \times 10^{30} kg et son rayon R_\odot = 7 \times 10^8 m.

Question 3)

Même question en considérant le cas réel des réactions de fusion nucléaire de l'hydrogène en hélium au coeur du Soleil. On suppose que 10% de la masse M_\odot est convertie en hélium et que la luminosité L_\odot reste constante. Le rendement de la réaction hydrogène -> hélium est de 0.7%, et on rappelle la relation d'équivalence masse-énergie E = m c^2.

Question 4)

Le Soleil brille depuis 4.5 milliards d'années. Combien a t-il perdu en masse ?


Réponses aux exercices

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Exercice 'Redshift'


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Exercice 'Calotte sphérique'


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Exercice 'Potentiel gravitationnel de la Terre'


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Exercice 'Supernova 1A'


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Exercice 'Bruit de numérisation'


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Exercice 'loi de Stefan'


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Exercice 'Intégrales gaussiennes'


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Exercice 'Distribution des vitesses'


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Exercice 'Temps de vie d'une étoile'